🌾🍇🐄 Eat's business 🍕🍷🧀 2021-24
Bonjour à toutes et à tous, je vous propose cette newsletter dans laquelle vous trouverez quelques articles sur le monde de l’alimentaire qui m’ont semblé intéressants dans la semaine précédente.
Pour ceux qui veulent la formule ristretto, les 3 articles que je vous conseille de lire en priorité cette semaine sont :
Les Echos, Les consommateurs ne veulent pas que les marques leur fassent la leçon, 17/06/2021
Financial Times, We must overcome the fear of genetic engineering in our food, 19/06/2021
New York Times, The Message in a Reusable Wine Bottle: Combat Climate Change, 10/06/2021
Bonne lecture et bonne semaine à toutes et à tous!
Pour celles et ceux d’entre vous qui ont plus de temps pour la formule lungo :
La France Agricole, La France n’est plus autosuffisante en poulets, 18/06/2021
Dans une récente note de conjoncture sur la filière volaille, Agreste constate que « alors que dans les années 2000, la France produisait davantage [de poulets] qu’elle ne consommait (taux d’autosuffisance à 149 %), la situation s’inverse depuis 2014 ». Ainsi, malgré le fait que les exportations de volaille française ont reculé de 4,2 % entre 2014 et 2020, les importations ont quant à elles progressé de 3,2 % sur la même période.
Le constat est donc qu’en 2020 la production française ne couvrait plus que 84 % de la demande intérieure, ce qui a nécessité des « approvisionnements extérieurs conséquents ». Comme le précise Agreste, « alors que la France exporte 30,5 % de sa production de poulets, elle importe 41,6 % du poulet consommé, contre 24,2 % en 2000 ».
Néanmoins, seul le poulet semble pour le moment concerné par cette situation, la part des importations étant inférieure pour les autres volailles (16% pour la dinde, 9% pour le canard et 1% pour la pintade).
Ouest France, Un « rémunérascore » à l’étude pour afficher le revenu des agriculteurs sur les aliments, 17/06/2021
Des députés LREM souhaitent mettre en place un « rémunérascore », qui consiste à apposer une note qui évalue la valeur du produit revenant à l’agriculteur.
Ils souhaitent insérer ce dispositif dans la proposition de loi Egalim 2. Le 16 juin, ils ont notamment voté la mise en place d’une expérimentation de ce « rémunérascore » pour une durée de cinq ans. Plusieurs filières se sont d’ores et déjà déclarées candidates pour l’expérimenter.
Petit message pour nos députés : plutôt qu’un énième logo à apposer sur le packaging pourquoi ne pas plutôt intégrer un volet rémunération dans une solution de traçabilité blockchain comme celles que proposent par exemple Connecting Food ou Tilkal?
Les Echos, Les consommateurs ne veulent pas que les marques leur fassent la leçon, 17/06/2021
Une étude réalisée par l'agence Babel avec l'institut BVA s’est intéressée à la perception des marques par les Français.
Ainsi, les Français sont 68 % à s'interroger sur les conséquences de l'activité humaine sur l'environnement, 63 % sur la provenance de leurs achats, et 58 % sur l'impact de leur propre consommation.
Et ces tendances sont encore plus prégnantes chez les 18-24 ans qui sont, par exemple, 71 % à s’interroger sur l'impact de leur propre consommation. Selon l’article, le succès de la marque de laits végétaux Oatly illustre bien ce phénomène. Par ailleurs, si 29% des Français se sentent coupables face à la surconsommation, ils sont 43 % chez les 18-34 ans. Conséquence de tout cela : 71 % des Français ont « simplifié leur consommation » depuis la crise.
Au final, environ 2/3 des Français estiment que les marques n'en ont pas fait assez pendant la crise. Selon eux, il est nécessaire pour les marques de : faire plus pour les consommateurs et la société, bien se comporter avec les employés, proposer des bons produits et faire des efforts sur les étiquettes.
L’étude complète est disponible ici
Le Figaro, Tisanes, céréales, chocolat...Ces produits qui brandissent des allégations de santé non réglementaires, 21/06/2021
D’après les résultats d’une enquête publiés cette semaine par la DGCCRF, 44% des denrées alimentaires présenteraient des anomalies en ce qui concerne les indications réglementaires. Ces produits mettent en effet en avant des allégations santé et/ou thérapeutiques qui ne sont pas autorisées, du type “détox”, “la vitamine C augmente les défenses immunitaires” ou encore “s'utilise lors d'un rhume”. Comme le précise la DGCCRF, « cette enquête a ciblé les produits les plus susceptibles de porter des allégations de santé : infusions, thés, chocolats, céréales pour petit-déjeuner, produits de la ruche…».
L’article rappelle par ailleurs que “seules des listes positives d'allégations, répertoriées par la Commission Européenne peuvent normalement figurer sur ces produits de consommation”.
La DGCCRF note qu’il y a une forte augmentation des cas d'anomalie. En effet, une étude identique avait eu lieu en 2016 et l’organisme avait trouvé un taux d'anomalie de 21%.
Le communiqué de presse de la DGCCRF est disponible ici.
Les Echos, Sortie de crise inattendue pour les fabricants de spiritueux, 11/06/2021
En avril 2020 le pire était prédit aux entreprises spécialisées dans les spiritueux, touchées de plein fouet par la fermeture des cafés, hôtels et restaurants mais également par celle des boutiques des aéroports.
Alors que les entreprises du secteur craignaient une chute des prix, il se trouve que les consommateurs se sont tournés vers des bouteilles plus haut de gamme. Mais surtout, comme l’explique Christian Porta, directeur général adjoint du développement chez Pernod Ricard, “ce comportement perdure aujourd'hui avec le déconfinement”. Ainsi, la montée en gamme dans les spiritueux, qui était déjà en cours depuis plusieurs années s'est “accélérée dans toutes les catégories”.
Elles ont également profité de l’envolée du e-commerce et, comme le précise Christian Porta, “on a vu arriver de nouveaux clients et nous pensons que les habitudes prises vont s'installer”. Pour s’adapter au développement de ce canal de vente, les entreprises des spiritueux ont proposé de nouveaux formats plus petits (25 cl et 35 cl) et plus adaptés.
Enfin, comme le précise l’article, les entreprises du secteur ont profité de cette période de pandémie pour "développer du contenu digital sur leurs histoires, leurs ingrédients, l'élaboration de leurs produits”.
Les Echos, La terre, nouvel horizon des milliardaires, 23/06/2021
Aux Etats-Unis, Bill Gates serait devenu le plus gros propriétaire de terres agricoles du pays avec près de 100 000 hectares. En France, Xavier Niel soutient Hectar, qui se présente comme “le plus grand campus agricole du monde”.
Dans son édition 2021, le Demeter précise que « alors que le prix des denrées alimentaires a doublé entre 2002 et 2018, celui des terres arables a été multiplié par 6 dans le monde, soit une inflation moyenne annuelle de 12 % ».
Ainsi, selon l’article, “que les tycoons qui se penchent vers la terre, comme les paysans de Millet, soient aussi des as de la technologie n'a rien d'un hasard”.
Et les GAFAM ne sont pas en reste. A l’instar de Google et de son projet « Mineral » dont le pitch est « l'agriculture mondiale devra produire plus de nourriture dans les 50 prochaines années qu'au cours des 10.000 années précédentes. »
BFM, Le bio pourrait nourrir l'Europe à condition de diviser par deux notre consommation de viande, 22/06/2021
Le CNRS vient de publier une étude qui propose une analyse prospective basée sur un scénario où l'ensemble de la production européenne serait en agriculture biologique.
Selon cette étude, si le bio ne permet pas de produire autant que l'agriculture conventionnelle sur la même surface, il serait pourtant envisageable de nourrir l’Europe avec une agriculture européenne 100% en bio. Ainsi, selon les auteurs de l’étude, “Avec un système agroalimentaire biologique, il serait possible de renforcer l’autonomie de l’Europe, de nourrir la population attendue en 2050, d’exporter encore des céréales vers les pays qui en ont besoin pour l’alimentation humaine, et surtout de diminuer largement la pollution des eaux et les émissions de gaz à effet de serre par l’agriculture”.
Mais pour que ce scénario devienne réalité, il va falloir modifier de manière drastique l’alimentation des européens. Cela passera notamment par une diminution par deux de la consommation de viande.
L’étude met en avant 2 autres leviers pour une massification de l’agriculture bio à l’échelle européenne : le retour à une forme de polyculture afin d'optimiser le recyclage des déjections animales et faire plus de rotations dans les cultures entre les céréales et les légumineuses afin de préserver les sols.
Washington Post, Food security isn’t enough. Anti-hunger experts say the focus should be on nutrition security, 11/06/2021
Alors que l’on emploie souvent le terme "sécurité alimentaire" pour décrire un accès constant à la nourriture, de nombreux professionnels de la santé et décideurs politiques pensent que ce terme est inadéquat. Selon eux, nous devrions plutôt parler de "sécurité nutritionnelle".
Comme l’explique Sara Bleich, conseillère principale pour le Covid-19 au ministère de l'agriculture américain, “à l'heure actuelle, un nombre record d'Américains vivent dans un état d'insécurité alimentaire et nutritionnelle malgré l'abondance de nourriture produite et disponible à travers les États-Unis”. Ainsi, on estime à 42 millions le nombre de personnes en situation d'insécurité alimentaire aux Etats-Unis, contre 35 millions avant la pandémie.
S’il existe bien des programmes nationaux de sécurité alimentaire pour aider les Américains à accéder à des aliments sûrs et nutritifs, il existe toutefois une lacune. En effet, la partie "nutritive" est souvent laissée de côté, car les programmes en question se concentrent la plupart du temps sur la fourniture d'une quantité appropriée d'aliments ou de calories plutôt que de s'assurer que les aliments soient riches en nutriments.
Financial Times, We must overcome the fear of genetic engineering in our food, 19/06/2021
Comme l’explique l’auteur de l’article, alors qu’il était dans un café après avoir reçu son vaccin contre le Covid, son oeil a été attiré par ces plats qui étaient fièrement étiquetés "sans OGM". C’est alors qu’il s’est demandé pourquoi “après avoir fait la queue pour qu'on me plante un vaccin génétiquement modifié dans le bras, on m'encourageait à refuser les aliments génétiquement modifiés dans mon assiette”.
Selon lui, les nouvelles techniques d'édition de gènes pourraient également transformer l'agriculture et jouer un rôle essentiel dans la lutte contre le changement climatique, mais elles sont encore largement boudées, car elles créent des "aliments Frankenfoods".
Pour illustrer son propos, il prend l’exemple de la variété de banane Cavendish. Comme il l’explique, cette variété domine la production mondiale mais elle est aujourd'hui sous la menace d’une nouvelle souche de la maladie de Panama. Il s’agit d’un champignon qui a déjà tué la seule autre variété de banane qui ressemblait et avait le même goût que la Cavendish, la Gros Michel (voir ici pour plus de précision sur cette maladie).
Or dans certains pays, les agriculteurs dépendent de la culture de la banane pour gagner leur vie. A cause de cette maladie la Colombie a par exemple déclaré l'état d'urgence national en août 2019.
Comme l’explique l’auteur, les pesticides ne permettent pas de combattre ce champignon et le seul moyen de sauver la banane Cavendish serait apparemment de modifier son génome. En Australie, des chercheurs ont ainsi créé des bananes "transgéniques", en insérant un gène issu de bananes sauvages qui pourrait aider à résister au champignon. Au Royaume-Uni, la société Tropic Biosciences modifie le génome de la Cavendish en utilisant la technologie CRISPR pour éliminer les gènes qui la rendent vulnérable.
Si, comme il le précise, “une telle modification génétique semble contre nature”, il rappelle que la banane Cavendish elle-même n'est pas naturelle car “elle est élevée comme un clone pour que chaque génération soit génétiquement identique”. D’ailleurs, il affirme que finalement “presque rien de ce que nous mangeons n'est vraiment “naturel” car “toutes les cultures et tous les animaux que nous consommons sont le fruit de siècles de sélection”. Le problème selon lui est qu’“en matière d'alimentation, nous supposons généralement que le “naturel” est meilleur que le “non naturel””.
The Guardian, Drinking coffee may cut risk of chronic liver disease, study suggests, 22/06/2021
D’après les résultats d’une étude britannique publiée cette semaine dans la revue BMC, les personnes qui boivent du café ont moins de risque de mourir d’une maladie chronique du foie. Cette nouvelle étude est la dernière en date à suggérer que la consommation de café pourrait avoir des effets bénéfiques, des travaux antérieurs ayant suggéré qu'il pourrait aider à éviter le cancer du foie et à réduire le risque de maladies du foie liées à l'alcool.
L'analyse a notamment révélé qu'après la prise en compte de facteurs tels que l'indice de masse corporelle, la consommation d'alcool et le tabagisme, les personnes qui buvaient du café, quelle qu'en soit la quantité et quel qu'en soit le type, avaient un risque de développer une maladie chronique du foie ou une stéatose hépatique (toutes catégories confondues) inférieur de 20 % à celui des personnes qui ne consommaient pas ce breuvage. Les buveurs de café avaient également 49 % de risque en moins de mourir d'une maladie chronique du foie. L'équipe a par ailleurs indiqué que l'ampleur de l'effet augmentait avec la quantité de café consommée, jusqu'à trois ou quatre tasses par jour, "au-delà desquelles des augmentations supplémentaires de la consommation n'apportaient aucun avantage supplémentaire".
The Economist, The refreshing taste of Woke-a-Cola, 21/06/2021
L’article nous apprend qu’en mars dernier, le groupe Coca-Cola a fait face à une crise d’image. En effet, les républicains de l'État de Géorgie ont fait adopté la loi sur l'intégrité des élections, qui met en œuvre un large éventail de restrictions du droit de vote. Ces restrictions semblent avoir été conçues pour écarter les électeurs démocrates, et en particulier les afro-américains. Le président Joe Biden a qualifié cette loi d'"anti-américaine". Pour en savoir plus sur cette loi, vous pouvez aller voir cet article.
Un certain nombre d’entreprises ont pris position contre cette loi. Plus d’une centaine d’entre elles, parmi lesquelles Amazon, Starbucks et Alphabet, la société mère de Google, ont signé une lettre ouverte s'opposant aux tentatives de limiter la participation démocratique. Mais Coca-Cola, dont le siège est à Atlanta, la capitale de la Géorgie, a eu du mal à prendre une position.
Or, comme l’explique l’article, au fil des décennies et sur tous les continents, Coca-Cola a séduit les populations en leur faisant miroiter la liberté. Ainsi, en pleine Seconde Guerre mondiale, une publicité de la marque disait "Coca-Cola, la boisson qui se bat". De même, lorsque le mur de Berlin est tombé, Coca-Cola était là.
En Amérique, le Coca-Cola est la boisson nationale. Mais lorsque James Quincey, le patron du groupe, a réagi de façon très discrète à la proposition de loi, Twitter s'est emporté, les lettres de reproches ont fusé et les boycotts ont commencé. Ce n’est qu’une fois le projet de loi adopté que James Quincey a affiché l’indignation de son groupe. Il a ainsi déclaré fin mars “je veux être parfaitement clair. La société Coca-Cola ne soutient pas cette législation, car elle rend le vote plus difficile, et non plus facile”.
L’article revient également sur les origines du Coca-Cola, qui fût inventé en 1886 par John Pemberton.
Et comme le conclut l’article, “Après presque un siècle à vendre l'Amérique à l'étranger, il est temps pour Coca-Cola de vendre l'Amérique à l'Amérique”.
The Economist, The origin or watermelons, 05/06/2021
Retour sur les origines d’un fruit typique de l’été.
D’après l’article, on sait depuis un moment que les ancêtres de la pastèque sont africains. En effet, des fouilles archéologiques menées en Libye et en Égypte ont montré qu'elle y était cultivée il y a des milliers d'années. D’ailleurs, le continent africain compte sept espèces et de nombreuses sous-espèces de plantes classées dans le même genre.
Mais d’après une publication récente, la pastèque dérive en fait d'une sous-espèce appelée melon soudanais du Kordofan, qui pousse au Darfour, la partie occidentale du Soudan.
New York Times, The Message in a Reusable Wine Bottle: Combat Climate Change, 10/06/2021
Les bouteilles en verre sont le principal contributeur à l'empreinte carbone de l'industrie du vin. Plusieurs entreprises expérimentent de nouvelles méthodes d'expédition.
L’article nous parle par exemple de Gotham Project, une entreprise spécialisée dans le vin en fût, qu'elle vend à des bars et des restaurants dans près de 40 États. Ainsi, en mai dernier, c’est dans un conteneur en plastique hermétique de 24 000 litres qu’est arrivé l’équivalent de 32 000 bouteille de 75 cl de pinot grigio de Sicile. Le conteneur est arrivé à Filling Station East, une installation de conditionnement du vin située près du port de Bayonne, dans le New Jersey. Le vin a ensuite été siphonné par un tuyau épais jusqu'à une cuve en acier inoxydable. À terme, il servira à remplir des fûts, des canettes et des bouteilles. Mais surtout, ces bouteilles sont réutilisables. Elles ressemblent à des bouteilles de Bourgogne, en verre vert pour les rouges et transparent pour les blancs et les rosés, sont estampillées de la mention "Return & Reuse" et scellées uniquement avec des bouchons en liège, évitant ainsi les déchets que produiraient les capsules en aluminium.
Alors certes, comme l’explique l’article, les bouteilles réutilisables ont une longue histoire dans le domaine du vin, en particulier dans les régions viticoles européennes. Néanmoins, la frugalité a largement cédé la place à la commodité dans le dernier tiers du XXe siècle. De même, l'expédition de vins en vrac n'a rien de nouveau. Jusque dans les années 1960, des producteurs bordelais expédiaient leurs vins en fûts vers la Grande-Bretagne, où ils étaient ensuite mis en bouteille pour être vendus par des négociants
Autre entreprise mise en avant : Good Goods. Il s’agit d’une start-up new-yorkaise qui a commencé à tester sa bouteille réutilisable auprès de 14 détaillants du pays l'année dernière. Mais les bouteilles réutilisables ne sont pas pour autant la panacée. Comme l’explique Zach Lawless, le fondateur de Good Goods, lorsque l’entreprise a testé sa première bouteille réutilisable à l’été 2020, seuls 25 % d'entre elles ont été retournées. Cela prouve que le fait de demander une petite caution, qui est restituée lorsque les bouteilles sont rapportées, n'est pas une incitation suffisante pour que les consommateurs surmontent leur préférence pour les bouteilles jetables. Good Goods a contourné ce problème en passant d'un système de consigne à un système de crédit magasin pour le retour des bouteilles. Le taux de retour est passé à 85 %. Pour Zach Lawless, "le fait de présenter les choses comme une récompense plutôt que comme une consigne a eu un impact considérable".
Carrefour lance l’Eco-Score pour ses produits MDD
Le chef Eric Guerin met en place ne nouvelle organisation pour son restaurant en soirée en décidant de fermer son restaurant à minuit tous les soirs.
Son post complet est à retrouver ici.
Concours Podcast #0 | Émilie Laystary, Léo Corcelli, Beena Paradin Migotto, Olivier Frey et Daniel Coutinho racontent leur expérience podcast + les règles du concours, 17/06/2021
Eat’s Business #23 | Anti Nutri-Score, guerre de la saucisse et vrac-washing | avec la participation de Kelly Frank, co-fondatrice de Siga, 22/06/2021
Information : il n’y aura pas d’épisode de podcast Eat’s Business mardi prochain. Rendez-vous le 6 juillet pour le dernier épisode avant les vacances.
C’est tout pour aujourd’hui.
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A la semaine prochaine!
O. Frey